Un détail ne vous aura pas échappé : le vert liturgique a fait son retour. Nous voici à nouveau dans ce temps ordinaire, après avoir célébré le mystère pascal et toutes les fêtes qui lui succèdent. Le vert de la lente croissante du Royaume de Dieu, le vert de l’espérance qui nous achemine peu à peu, ou plutôt pas à pas vers le Royaume.
Caritas Christi urget nos ! - Page 10
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Suis-moi !
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Partons au Cénacle
Athenaïs, David, Edouard, Marius et Emilien, je vous emmène en voyage à Jérusalem. En fait, ce n’est pas moi, mais les lectures que nous venons d’entendre qui nous emmènent à Jérusalem. Et ce n’est pas un voyage physique, c’est plutôt un voyage avec notre imagination, comme quand on lit un livre. On lit et on voit les images dans notre pensée.
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« Les brebis écoutent ma voix »
Ce 4ème dimanche de Pâques, c’est la figure du bon pasteur qui est proposée à notre méditation. Je ne sais pas vous, mais personnellement, je suis un peu frustré de ce court Evangile, extrait pourtant du chapitre 10 de St Jean, où le Christ se présente comme ce berger, ce pasteur qui guide son troupeau, et dont les brebis écoutent sa voix.
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Un amour passionné
Nous avons commencé cette célébration en acclamant Jésus triomphant dans son entrée à Jérusalem. Nous finissons cette lecture de la Passion en restant à l’entrée du tombeau où il est déposé. C’est la Passion du Seigneur que nous vivons et célébrons ce dimanche.
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Douce lumière
Vous connaissez ce fameux chant Amazing grace, écrit par un négrier anglais qui se considère comme un pécheur repenti, sauvé par la grâce divine. Dès la 1ère strophe, il donne le ton et la couleur : Quelle grâce incroyable. Combien fut douce la voix de celui qui a sauvé un misérable tel que moi. J’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé. J’étais aveugle, mais maintenant je vois.