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Vie quotidienne

  • Sylt (wer kommt ?)

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  • Et nous hâtons le pas !

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  • Binge-drinking : je suis non pratiquant !

    La Mairie de Paris a une initiative intéresante, qui pourrait être relayée dans toutes les mairies de grandes villes, notamment universitaires, dans les Universités, les CROUS, les foyers d'étudiants, les sites des BDE (et oui, messieurs), les sponsors des BDE, et même les aumôneries étudiantes. Le voici :

     

     

  • L'Eglise sait-elle communiquer ?

    La question est lancinante, surtout dans un climat d'hypermédiatisation, d'hypercommunication. Une initiative à noter avec les parcours Alpha qui diffusent ce clip dans les salles de cinéma du 3 au 23 septembre.

  • Les Cendres

    030106ashw.jpgCatéchèse du Cardinal Pierre Eyt aux jeunes du diocèse de Bordeaux, sur le sens du carême
    Cathédrale Saint-André, le 28 février 2001

    La cendre est appliquée sur le front pour nous appeler plus clairement encore à la conversion, précisément par le chemin de l'humilité. La cendre, c'est ce qui reste quand le feu a détruit la matière dont il s'est emparé. Quand on constate qu'il y a des cendres, c'est qu'apparemment il ne reste plus rien de ce que le feu a détruit. C'est l'image de notre pauvreté. Mais les cendres peuvent aussi fertiliser la terre, aider au redépart de la nature et la vie peut renaître sous les cendres.

    Quand nous sommes attentifs à ce que peuvent signifier les cendres, nous sommes déjà introduits dans le sacrement de réconciliation et de pénitence. Dire notre péché pour être pénétrés par le pardon de Dieu. Dire notre violence et la regretter et nous en repentir pour imiter Dieu en pardonnant à notre tour. Le sacrement de réconciliation nous oriente de l'intérieur, comme le feu peut nous orienter de l'extérieur dans la nuit du péché. Le chemin de Pâques est donc une route extérieure, avec ces six semaines et ces quarante jours de Carême, mais c'est surtout un chemin du cœur, un chemin de l'intérieur, un chemin de conversion.

    Feu, cendres, pénitence, ... il s'agit de détruire " le vieil homme ", de le brûler, mais il est trop clair qu'on ne détruit et qu'on ne brûle que ce que l'on remplace. Alors interviennent les actes et les gestes, les engagements que l'Eglise propose pour le Carême et dont Jésus nous exprime déjà la nécessité dans l'Evangile : l'aumône, la prière, le jeûne. Il s'agit de reconstruire à la place de ce qui a été détruit. Il s'agit de construire avec la grâce du Christ, avec la main du Christ qui nous saisit. Il s'agit de construire avec l'esprit du Christ qui va façonner en nous l'homme nouveau. D'où ces trois chemins convergents dont l'Evangile nous parle : l'aumône, la prière et le jeûne.