Nous avons entendu et prié ce psaume 22. Un psaume qui nous est familier, au point d’être celui que nous connaissons le mieux, presque par cœur. Dans les célébrations de baptême, de mariage ou de funérailles, il est souvent choisi par les familles. En quelques strophes, il brosse le portrait du bon pasteur et de sa sollicitude.
Homélies - Page 12
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Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien
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Il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime
Nous lions la suite de l’Evangile de dimanche dernier, l’allégorie de la vigne. Nous le lisons dans ce climat de Pâques, celui dans lequel nous sommes entrés il y a déjà 5 semaines. Et si l’Evangile d’aujourd’hui nous parle d’amour (11 fois de suite) et de joie, c’est parce qu’au soir de sa Passion, le Christ livre à ses disciples le cœur intime de ce qu’il vient vivre pour eux et pour nous.
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Le Bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis
En ce 4ème dimanche de Pâques, nous n’avons plus de récit d’apparitions du Christ ressuscité, mais ce bel Evangile, ce bel autoportrait que le Christ nous laisse dans la lumière de Pâques. Il est le Bon Pasteur.
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Jésus j'ai confiance en toi
En l’an 2000, le pape Saint-Paul II avait décidé que ce 2ème dimanche de Pâques serait celui de la Miséricorde Divine. Il répondait ainsi à la demande faite par le Christ en apparaissant à la jeune Faustine Kowalska religieuse à Cracovie. Nous voici donc donc appelés à contempler la Miséricorde de Dieu pour toute l’humanité, cette miséricorde qui aime, qui sauve et qui pardonne. Dans l’Evangile de ce dimanche, nous voyons le Christ ressuscité montrer ses mains et son côté, ses plaies ouvertes, d’où s’écoule cette miséricorde pour tous ceux qui s’y approcheront.
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Ô nuit de vrai bonheur, nuit où le ciel s’unit à la terre, où l’homme rencontre Dieu
Chères Kenza, Chloé, Juliette et Manon, voici cette nuit, ou plutôt ce petit matin que vous attendez depuis des mois. Voici cette nuit sainte de la Résurrection. Et nous voici au matin de Pâques, comme ces femmes qui viennent au tombeau. Un peu embués, un peu ensuqués, bref pas très frais.
Nous voici au seuil d’un jour nouveau, celui que le Christ vient illuminer de sa clarté et de sa présence. Celui où il remonte de la mort pour faire triompher la vie, ou plutôt sa vie. La nuit sainte qui ouvre enfin sur le jour.