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  • « Heureux ceux qui croient sans avoir vu »

    Cette Béatitude énoncée par le Christ clôt cette apparition du Christ au 8ème jour, le dimanche qui suit celui de la résurrection. Voir et croire sont deux verbes que nous avions déjà entendu.

    12religi.jpgSouvenez-vous : c’était le matin du jour de Pâques. Avec Pierre et Jean, nous sommes courus au tombeau vide à l’annonce de Marie Madeleine. Et l’évangéliste prend la peine de préciser qu’à l’entrée dans le tombeau, Jean a vu et il a cru. Et pourtant, il n’y avait que peu de choses à voir, pas plus que si vous allez au Sépulcre ces jours-ci. Un tombeau vide, des linges et un suaire affaissé. Et pourtant, sa foi prend le relais. Elle se remémore toutes les prophéties de la résurrection portées par l’Ancien Testament. Elle se rappelle toutes les annonces du Christ lui-même : « Il faut que le Fils de l’homme souffre de la part des grands prêtres, qu’il meurt et que le troisième jour il ressuscite ». La foi native lui fait conclure à travers ces maigres indices que le Christ est vivant, qu’il a traversé la mort, et que la vie éternelle fait son œuvre.

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  • Il prit le pain, le bénit, le rompit et le donna à ses disciples »

    sainte_c_ne.jpgChères Agnès et Justine, dans la nuit de Pâques, vous allez communier à ce pain. C’est le pain de la Pâque, le pain pris par le Christ dans le repas de cette nuit pour en faire le sacrement de son Corps et de son Sang. C’est le pain azyme qui n’a pas levé, celui que Dieu donne aux enfants d’Israël comme mémorial de leur libération. C’est le mémorial de la Pâque, au sens fort du terme : tous ceux qui consomment cet Agneau immolé au Temple, revivent la Pâque, sortent à nouveau d’Egypte. Manger l’Agneau, c’est manger la Pâque. Manger ce pain et boire à cette coupe, c’est recevoir le salut, ni plus ni moins.

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